Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast qui s’intitule aujourd’hui : “Aimer pour se laisser aimer”.

J’ai toujours dans mon sac à main un mini livre comme ceux de la collection “Les petits collectors” chez Marabout.

Ces livres ne pèsent rien et me sont d’un grand secours quand je dois patienter quelque part.

En ce moment, je relis celui d’Albert Bosh intitulé Vivre pour se sentir vivant.

L’auteur y raconte sa traversée de l’Antarctique à pied en 67 jours.

Au-delà de cette incroyable aventure, il livre ses réflexions sur la vie et la condition humaine.

Comme d’habitude, fidèle à ma pratique de la métalecture, je fais des ponts avec le domaine amoureux.

Je vais beaucoup m’inspirer de ce livre pour rédiger cet épisode.

Il y aura donc de nombreuses citations.

J’ajouterai mes propres commentaires, les enseignements que j’en tire et mes prises de conscience.

Épisode spécial citation V

Du coup, il s’agit bel et bien d’un nouvel épisode spécial citations !

Voici les liens vers les précédents :

Épisode spécial I : Comment utiliser les citations que vous aimez pour améliorer votre quotidien ?

La première crêpe est toujours ratée : ma définition (particulière) de la réussite

Épisode spécial citations III « Et ils vécurent heureux… en couple ou séparés »

Épisode spécial citation IV : comment attirer à soi la chance ?

Avant-propos : Aimer pour se laisser aimer

Écouter ce que dit le partenaire mais surtout regarder ce qu’il fait

Dans l’avant-propos du livre, Albert Bosh décrit à qui s’adresse son guide puis il affirme :

“Je croirai ce que tu dis quand je pourrai voir ce que tu fais.”

En ce qui me concerne, j’ai envie d’écrire que cet épisode « Aimer pour se laisser aimer » s’adresse aux personnes qui souhaitent approfondir le sentiment amoureux, qui préfèrent jouer un rôle plus actif dans le déroulement de leur histoire d’amour au lieu de seulement se laisser porter, qui savent que l’Amour ne suffit pas toujours et que le couple est une terre à semer et à cultiver…

Cet épisode s’adresse à tous ceux qui souhaitent vivre leur relation amoureuse avec plus de conscience, de profondeur et de justesse.

Être attentive à la façon de dire « je t’aime » de notre partenaire

En lisant l’avant-propos du livre, je me rends bien compte que, dans mon ancienne relation, je n’ai sans doute pas suffisamment su voir toutes les fois où il me disait “je t’aime” à sa façon à lui qui ne correspondait pas à ma façon de le dire.

👉 Faudrait-il davantage considérer que l’autre nous dit qu’il nous aime y compris quand il ne le dit pas ou n’agit pas comme nous aimerions ?

Tout est question d’équilibre car je ne peux croire ce que tu dis que lorsqu’en même temps, je vois des signes concrets.

“En somme, ce qui importe pour nous sentir vivants et faire que notre existence prenne sens à nos propres yeux et à ceux de notre entourage, c’est l’action ou la mise en actes de nos pensées.”

👉 J’ai envie d’écrire qu’en somme, ce qui importe pour se sentir bien dans une relation amoureuse et se laisser aimer, c’est la mise en actes de notre sentiment amoureux.

Comment se préparer à aimer pour se laisser aimer ?

Accepter le risque d’une séparation

Dans le chapitre 1 intitulé « Chambre 307 », il explique qu’il s’est fait opérer de l’appendicite afin de ne pas prendre le risque de mourir d’une péritonite aiguë pendant son expédition au Pôle Sud.

Ce serait bien -qu’en pensez-vous ?- si l’on pouvait tenter l’aventure d’une relation amoureuse sans prendre le risque de souffrir ?

“G.K. Chesterton donnait de la chose une excellente définition : ”L’aventure peut être folle mais l’aventurier doit toujours être sain d’esprit.”
Pour ma part, j’ai le risque en horreur. […] Je suis pleinement conscient qu’il est nécessaire d’accepter et d’assumer certains risques si l’on veut réaliser des projets intéressants et exceptionnels.”

Je crois qu’en amour, c’est un peu pareil.

👉 Entrer dans une relation, c’est prendre le risque (et l’accepter) de se retrouver quelques jours, semaines, mois, années plus tard déçue et triste.

Avec cependant, de beaux souvenirs et des prises de conscience.

J’ai cette capacité malgré la séparation à toujours me dire que c’était une jolie aventure et à n’avoir aucun regret du beau projet accompli.

C’est une chance d’être capable de garder cet état d’esprit, je le sais bien.

“Ces situations demandent un engagement total de la part de ceux qui choisissent de les vivre. On aura beau s’être préparé à toutes sortes d’aléas, anticiper certaines situations évite bien des surprises et permet aussi d’avoir une plus grande confiance en ses chances de réussite ; sans compter la satisfaction d’avoir fait ce qu’il fallait en prenant toutes les précautions qui dépendent de soi.”

S’engager à 100%

Si je compare avec ma situation actuelle, je suis contente de m’être engagée à fond dans mon ancienne relation contrairement à mon ex-compagnon qui avait peur que la relation se termine et maintenait un flirt au téléphone avec une autre fille.

Son implication n’était pas totale dans notre relation et inconsciemment, je pense que je le ressentais.

👉 Je crois que si vous voulez laisser une chance à une relation, il vous faut vous engager à 100% dans la réussite de ce lien amoureux.

Cela n’empêche pas en même temps d’être conscient que cela peut se terminer.

“Il faut être prêt à assumer certains risques pour faire aboutir ce qui nous tient à cœur.”

Donner de la densité à sa relation

Dans le chapitre 2 intitulé “Du désert de sable au désert de glace”, voici ce que nous pouvons lire :

“La vie est un grand projet, constitué de beaucoup de projets intermédiaires que nous forgeons tout au long de notre existence : c’est en restant connectés à ces projets que nous donnons du sens et de la densité à la vie.”

👉 J’aime beaucoup cette idée de donner de la “densité” à une relation amoureuse en s’y engageant pleinement au lieu de rester à la surface.

Il raconte son échec lors de son premier Dakar et dit :

“Je suis heureux de m’être battu pour ce projet et d’y avoir participé. Et je me promets d’essayer à nouveau.”

C’est exactement ce que je ressens en ce moment.

Je suis heureuse de m’être engagée dans cette relation et de lui avoir donné la chance de se développer. J’ai fait ma part.

👉 Et je me promets de faire pareil dans la prochaine relation.

“[…]malgré les difficultés qui viennent compliquer nos vies, nous pouvons toujours avancer vers nos objectifs si nous adoptons l’attitude adéquate.”

Quelle est cette “attitude adéquate” ?

Je pense que cela se rapproche de ce que j’appelle “le mode solution”.

Quelle attitude adopter quand on subit une séparation ?

Il cite son ami Pep :

“Ce fauteuil, je l’ai sous les fesses, pas dans ma tête.”

👉 C’est l’attitude à adopter face à un échec amoureux : “je l’ai dans mon passé mais pas dans ma tête !”

“Mes prochaines victoires vont consister à l’emporter non pas sur les autres, mais sur moi-même”.

“Je pense souvent que nous surestimons les rêves et que nous sous-estimons les projets. Il est beau, intéressant, gratifiant, pour ne pas dire indispensable, d’avoir des rêves puisqu’ils nourrissent notre appétit de vivre ; cet enthousiasme est par ailleurs source d’énergie et de motivation pour toute personne désireuse d’agir. Mais, ce qui compte vraiment au final, ce n’est pas tant cette capacité à concevoir un rêve que les projets que nous élaborons pour le faire devenir une réalité.”

👉 L’important est très certainement de ne pas rester un simple spectateur de sa vie mais d’être plus un acteur.

“Retrousser ses manches pour de bon, avec un objectif précis, nous offre beaucoup d’opportunités et, au pire, nous épargne l’échec de n’avoir même pas essayé.”

“Demandons-nous toujours si ce que nous faisons aujourd’hui nous mène là où nous voulons vraiment être demain.”

👉 Dans notre relation amoureuse, demandons-nous régulièrement si ce que nous faisons ou disons nous rapproche de la relation que nous souhaitons vivre.

Aimer pour se laisser aimer : rester connectée au présent

Vivre la relation au présent

Que nous dit l’auteur dans le chapitre 3 « La salle de l’esprit et du temps » ?

“Il faut toujours aiguiser sa conscience du moment présent. Trop souvent, nous ne savons pas savourer les moments les plus mémorables de notre vie quand ils se produisent, alors que nous les exaltons pendant la phase d’attente ou dans celle du souvenir.”

“Il faut discerner les raisons de son objectif. C’est un facteur clé du succès quand on s’embarque dans un projet.”

“La motivation. Ce mot signifie littéralement ”voir des motifs pour agir”. Si les motifs sont clairs pour vous, vous pourrez agir avec conviction et confiance car vous saurez vous appuyer sur eux. Ces bases indispensables se trouvent en répondant à ces questions : “Pourquoi je veux ou j’ai besoin de faire telle ou telle chose ? En quoi est-ce important pour moi ? Quel impact cela aura-t-il sur ma vie ?”

Rester connectée à ce qui est important pour nous

Il s’agit davantage de trouver la vraie raison qui nous pousse à agir.

“si notre objectif répond à une priorité vitale, s’il fait sens et nous est personnel, il nous permettra toujours de bâtir des projets solides.”

“Je cherche dans mes expériences un chemin intérieur, qui me permette de grandir, d’évoluer, d’atteindre une pleine conscience, d’apprendre à mieux aimer (moi et les autres), de démultiplier le temps, de transcender mon ego, d’améliorer ma cohérence.”

👉 Quel que soit ce qui arrive, je reste connectée à ma boussole intérieure.

Que pouvons-nous maîtriser en amour ?

Rester alignée

Le chapitre 4 est intitulé « Prisonnier des glaces ».

“Il arrive que nous n’ayons pas la main sur les circonstances, mais nous pouvons maîtriser notre comportement.”

Dans le chapitre 5, il nous raconte comme il s’est retrouvé « Tout seul ».

Son compagnon Carlos est contraint d’abandonner l’expédition et il poursuit seul.

“C’est dans les moments critiques que l’on récolte ce que l’on a semé, et que l’on retrouve tout un tas de souvenirs, d’élans, de craintes, de doutes, d’espoirs, de déceptions, d’assurance, de fragilité et de force emmagasinés tout au long de notre vie.”

Je crois pouvoir dire que la séparation ne m’affecte pas autant que j’aurais pu le craindre.

Je ne crois pas que ce soit de l’indifférence.

C’est plutôt de l’expérience engrangée.

Rester résiliente

👉 J’ai la capacité aussi à équilibrer qu’il y a des inconvénients et des avantages à toute situation, une force que je me connais pour dépasser les événements challengeants, la résilience que j’ai développée lors de mes séparations passées…

“Quand on affronte des situations à ce point compliquées, dans lesquelles la souffrance et le risque sont à leur maximum, au point de mettre en jeu la vie elle-même, sentir que l’on est sincère et en accord avec soi-même ne peut que nous rendre heureux et forts.”

“L’engagement et l’authenticité devraient toujours faire partie de nos projets.”

Rester confiante

L’important pour lui n’est pas tant de toucher le pôle que d’aller le plus loin possible.

“Le pire des échecs consiste à renoncer à des objectifs importants à nos yeux sans avoir lutté pour les atteindre.”

“Je me rappelle alors une phrase de Sénèque : “Ceux qui renoncent sont bien plus nombreux que ceux qui échouent”. Je ne veux pas renoncer et j’estime que le fait de vouloir me battre en prenant le risque d’échouer est en soi une victoire, si je persévère dans l’approche patiente de mon objectif.”

👉 Je ne veux pas renoncer à mon désir de vivre une belle relation avec un homme de façon durable.

L’amour est une belle aventure… quelle qu’en soit la fin

La belle aventure du couple

Dans le chapitre 6, il explique que cette expédition a été  » un parcours du combattant ».

Je n’ai pas envie de me dire ou de me laisser convaincre que l’aventure du couple est un “parcours du combattant”.

Je crois que c’est comme les injonctions contradictoires.

On croit qu’il est “normal” d’avoir des conflits, des désaccords ou le désir qui baisse ou autres désagréments qui viendraient avec le temps dans la relation.

Cependant, dans le même temps, on se dit que la relation doit être fluide sinon on croit que l’on n’est pas fait pour aller ensemble.

Ces croyances nous conduisent vers une impasse en couple.

“À mesure que j’avance, je prends conscience des difficultés énormes qui m’attendent. Mais il semble qu’on finisse par s’adapter à tout, l’important étant d’avoir l’envie et l’énergie suffisantes pour aller de l’avant.”

Bien sûr qu’en lisant cette phrase, je fais un parallèle avec mon parcours amoureux.

👉 D’ailleurs, je trouve que ce pourrait être une jolie formation de connaissance de soi : dessiner la frise chronologique de sa vie amoureuse.

“Cela vaut souvent la peine de penser que les problèmes ne sont pas là pour nous démolir mais pour nous rendre meilleurs, nous faire grandir et devenir plus forts.”

La belle aventure malgré les aléas

« L’objectif impossible » est le titre du Chapitre 7.

“Notre perception des chances de réussite détermine la suite donnée au projet, en nous incitant à persévérer ou à renoncer.”

Il conseille de ne pas rester obnubilé par le but à atteindre mais plutôt de considérer les petites étapes gérables.

👉 Se concentrer sur le moment présent et sur la prochaine étape suffit largement pour avancer pas après pas.

Nous ne pouvons pas tout maîtriser

👉 De même, il conseille de se concentrer sur notre mental et nos capacités car c’est ce que nous maîtrisons et de laisser de côtés les circonstances extérieures à nous.

Gérer ses limites (Chapitre 8)

👉 Ne pas se laisser emporter par la pensée binaire : un projet est impossible/il suffit d’y croire pour que cela arrive !

“Tous les efforts, sacrifices ou risques inhérents à une projet ne sont pas les seuls constituants de nos limites ; les valeurs qui comptent pour nous, nos relations, notre sens des responsabilités jouent aussi un rôle. Dans toute situation, il faut prendre en compte ces éléments pour rester cohérent avec ce que nous sommes. Dans le cas contraire, on peut tout à fait réussir un projet, mais si nous avons franchi nos limites, cela restera un échec à l’échelle globale.”

Être fière de soi

“Ce qui se joue ici, c’est la possibilité d’être fière de nous, de ce que nous faisons, de ce que nous avons réussi. Un tel enjeu vaut plus que la vie : il est le sens que l’on donne à la vie, infiniment plus précieux que la vie elle-même. Tout le monde sait vivre, mais donner un sens à sa vie constitue le vrai grand défi lancé à tout être humain.”

“La notion de limite est aujourd’hui galvaudée et nous devons trouver un juste milieu entre une prudence excessive et une prise de risques inconsciente.”

👉 Je ne veux pas penser que l’amour a une limite.

Je suis ambitieuse en amour, audacieuse, courageuse, parfois culottée, en tout cas enthousiaste et passionnée.

Chapitre 9 La traversée des sens

“Les rares individus qui circulent dans ces parages sont assurés de ne jamais attraper de maladie virale, et une blessure ne s’infecte jamais.”

Si vous voyagez en antarctique de l’Amour, région polaire, désert froid sans personne, vous vous évitez très certainement des souffrances liées aux désillusions, aux conflits, aux séparations… mais du coup, vous ne vivez pas l’aventure de l’Amour ! 😉

“Arrivés à un certain stade, il faut cesser de ruminer et choisir pour de bon si on laisse tomber ou si on fonce.”

Potentialiser nos expériences

“Dans nos diverses expériences, dans notre périple à travers la vie, nous devons potentialiser notre cheminement intérieure […].”

“Je pense que tout le monde devrait s’imposer de se retrouver régulièrement seul pendant un ou plusieurs jours, d’entreprendre un voyage en solitaire, loin de son espace familier, confortable et maîtrisé, ou de découvrir un lieu avec des personnes inconnues.”

La solitude bienfaisante

“S’aimer, c’est s’écouter, s’accepter, se respecter, se valoriser – faire attention à soi en toutes circonstances. Émotionnellement parlant, nous ne pouvons partager avec les autres que ce que nous avons cultivé en nous.”

Chapitre 10 La grande bataille de l’esprit

“L’esprit est une arme puissante. Il faut le canaliser et le stimuler sans cesse, car il peut aussi nous trahir. Il choisira toujours le chemin le plus facile, le plus confortable, le plus sûr… Mieux vaut chercher la “force” pour se laisser emporter par elle -c’est plus productif, plus intéressant et plus utile.”

“Il faut absolument aiguillonner régulièrement nos envies, être conscient que le sens que nous leur donnons compte davantage que ce qui en retarde l’issue ; toujours penser que l’objectif final en vaut la peine et que le facteur temps est relatif par rapport au bilan global du projet – et même de la vie en générale.”

La douleur est inévitable mais la souffrance est en option

“notre volonté peut agir sur la perception mentale d’une douleur à laquelle on ne peut pas échapper.”

Fêter nos réussites (même petites)

Dans le chapitre “Bonheur austral”, il explique qu’il a marqué les petits événements de son périple avec une petite fête.

“Je me souviens que chaque jour, avant d’entrer dans ma tente, quand tout est en ordre, je médite quelques instants sur la satisfaction d’avoir bouclé une journée sans avoir rencontré de problèmes, et je prends le temps de savourer par avance le plaisir de me reposer enfin dans mon petit refuge ; s’il fait à peu près beau, même si la visibilité n’est pas extraordinaire, je consacre trois ou quatre minutes à parcourir des yeux et de l’esprit cette immensité en tournant sur moi-même pour parcourir tout m’horizon et en respirant à fond pour absorber toute l’énergie que l’endroit et la situation ont à m’offrir.”

“Il existe bien des façons de réussir ou d’échouer, mais il me semble qu’il vaut mieux échouer dans quelque chose qui nous a comblé que de remporter un succès dont on se fiche royalement.”

“Ce n’est pas la réussite qui nous mènera au bonheur ; c’est le bonheur qui nous aidera à réussir.”

“Les obstacles ne font qu’accroître la valeur de l’expérience vécue.”

“La vie, je le rappelle, est un grand projet composé d’une somme de projets intermédiaires. Dans cette optique, si nous traitons ces projets en les compartimentant, nous obtiendrons un entassement d’expériences sans rapport entre elles, qui nous fournirons d’agréables souvenirs mas ne nous apporteront pas grand chose. C’est le bilan que nous faisons de chaque aventure qui nous relie à notre être intérieur et au reste du monde pour nous permettre de devenir meilleurs -un mot si facile à écrire et à prononcer mais plus difficile à réussir.”

👉 En quoi aujourd’hui je peux me montrer “meilleure” qu’hier ?

“Ce qui compte, c’est de nous fixer des objectifs qui aient un sens, qui nous enrichissent et nous fassent grandir, qui soient profitables aussi bien à nous-même qu’à notre entourage et à notre environnement.”

“Soyons créatifs en essayant de répondre, par chaque nouveau projet, à cette question fondamentale : qu’est-ce que j’attends de la vie ?”

“Ce serait magnifique si tous les hommes pouvaient calculer le nombre de pas qui les ont conduits là où ils sont parvenus. Car nous sommes tous dépositaires d’un trésor d’apprentissages, d’expériences et d’émotions. Mais ce qui importe est le prochain pas que nous allons faire : il sera le premier du reste de notre chemin. Mettons-y toute notre énergie, toute notre sensibilité, toute notre sagesse et toute notre passion.”

Conclusion : aimer pour se laisser aimer

Je vous souhaite d’aimer intensément, de vous aimer et vous chérir quelles que soient les circonstances pour vous sentir aimées.

👉 Et laissez-vous aller le plus souvent possible afin de vous laisser aimer !

Pour écouter un autre épisode impactant, c’est par ici : Devenez la leadeuse de votre vie amoureuse !